La Fondation aux Journées d’Été des Écologistes 2015
La Fondation de l’Ecologie Politique sera présente lors des Journées d’Été des Écologistes organisées à Lille les 20, 21 et 22 août 2015.
La Fondation de l’Ecologie Politique sera présente lors des Journées d’Été des Écologistes organisées à Lille les 20, 21 et 22 août 2015.
Atelier de recherche coopérative : « Représentation et participation dans la justice environnementale », organisé par le GIS « Démocratie délibérative et participation du public » du CNRS, le Centre de Philosophie Contemporaine de la Sorbonne (PhiCo) et la Fondation de l’Ecologie Politique.
Libérer les énergies en cherchant ensemble des solutions : telle est l’ambition de cette 12e édition du Felipé.
Les coûts humains et sociaux de la dégradation de l’environnement sur la santé sont considérables. L’augmentation des maladies chroniques non transmissibles, largement liée aux facteurs environnementaux et aux modes de vie, est reconnue aujourd’hui comme un défi majeur pour les systèmes de santé et les économies mondiales par l’OMS elle-même. Elle est déjà l’une des grandes crises écologiques actuelles.
‘The Green Democratic Reboot’ – présentation du nouveau Green European Journal
La FEP aux Journées d’été des écologistes 2014
Militants de l’autrement.
Sociologie politique de l’engagement et des carrières militantes
chez Les Verts et Europe Écologie-Les Verts (EELV)
La soutenance se déroulera le vendredi 11 juillet à 9h30 , au Centre Panthéon, Salle 1, Galerie Soufflot, escalier M, 1er étage, 12, place du Panthéon.
Les inégalités environnementales en France
– analyse, constat, action –
Par Eloi Laurent
Depuis une bonne cinquantaine d’années qu’un certain nombre de scientifiques ont attiré l’attention sur l’ampleur de la crise environnementale et ses conséquences potentiellement catastrophiques, le diagnostic établi et les remèdes sont connus. Pourtant on agit très peu, et les résultats sont très insuffisants. Les engagements pris à Kyoto, par exemple, non seulement n’ont pas été tenus, mais le volume des émissions de gaz à effets de serre a augmenté.
Nous voyons le mal, nous savons comment y remédier, mais nous n’agissons pas. Serions-nous devant une manifestation collective d’akrasie ou de faiblesse de la volonté? Faut-il y voir des façons que nous avons de nous cacher la vérité à nous-même (self-deception, mauvaise foi, aveuglement volontaire, ‘j’y pense et puis j’oublie’)? Faut-il chercher l’explication du côté de phénomènes de dissonance cognitive (c’est la façon dont on explique parfois l’écoscepticisme)?
Conférence-débat autour de la publication de l’ouvrage ‘Le corps-marché’ de Céline Lafontaine