L’économie par l’entraide selon Pierre Kropotkine
Note de lecture de Pierre Kropotkine et l’économie par l’entraide de Renaud Garcia (Le Passager Clandestin, 2019)
Note de lecture de Pierre Kropotkine et l’économie par l’entraide de Renaud Garcia (Le Passager Clandestin, 2019)
Cette note est la cinquième de la série ‘Sociétés Écologiques du Post-Urbain’. Elle explore l’enjeu paradoxal des lieux comme puissance d’agir et de vivre ensemble, peut-être d’abord pour les sociétés post-urbaines.
Cette note est la quatrième de la série ‘Sociétés Écologiques du Post-Urbain’. Les annonces faites depuis les années 2000 d’un changement paradigmatique de l’urbanisme en réponse aux enjeux environnementaux (sous les traits momentanés d’un développement urbain durable) semblent de peu d’effets pour une mutation des expertises territoriales. Les environnements urbains ne cessent de se dégrader, tandis que des disparités spatiales se dessinent entre les pratiques environnementales des habitants en milieu urbain ou rural.
Cette note est la troisième de la série ‘Sociétés Écologiques du Post-Urbain’. Si les politiques contemporaines en faveur de la mobilité durable aboutissent bel et bien à limiter les nuisances automobiles sur certains territoires urbains stratégiques et symboliques de la « ville où il fait bon vivre », elles continuent simultanément d’améliorer l’accessibilité automobile à l’échelle de la « métropole des flux » et d’alimenter la mobilité généralisée nécessaire à la croissance de nos sociétés capitalistes contemporaines.
Au-delà des promesses sans cesse répétées, les réalisations associées aux « smart cities » semblent au contraire accélérer les dynamiques inégalitaires et anti-écologiques des métropoles futuristes. Surtout, avec la « smart city », une nouvelle étape est franchie dans le brouillage du langage, dans la gestion automatisée de nos vies, et dans la relance du projet de modernisation productiviste de l’urbain.
Cette note ouvre une série de contributions dédiées au Sociétés écologiques du post-urbain. Elle retrace l’évolution de la métropolisation, en livre les principales conséquences, et, sur cette base, s’ouvre aux ruptures possibles par l’écologie politique, pour alors envisager les conditions d’une société post-urbaine.
À l’occasion de la « Journée Internationale pour l’élimination totale des armes nucléaires », la Fondation de l’Écologie Politique publie une note sur l’interdiction des armes nucléaires rédigée par deux porte-paroles d’ICAN France, la branche française de la Campagne internationale pour abolir les armes nucléaires (Prix Nobel de la paix 2017)
Éléments de déchiffrage en Seine-Saint-Denis
Les catégories mises à l’épreuve des vécus
Par Alice CANABATE
On compense de plus en plus les impacts d’aménagement par l’utilisation de l’ingénierie et de la restauration écologique. Mais est-ce la solution ? Quel bilan peut-on faire de la compensation en France ?